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Cette superproduction du cinéma muet aux 750 acteurs et aux 25 000 figurants, est présentée dans sa version intégrale restaurée, ressortie en octobre 2011 à la Filmothèque. Quatre-vingt-quatre ans après sa première mondiale, le film a retrouvé son visage originel, grâce à la redécouverte dans une cinémathèque de Buenos Aires de vingt-cinq minutes qui avaient disparu du négatif et qu’on croyait définitivement perdues, et à l’adjonction de la musique de Gottfried Huppertz qui accompagnait le film au moment de la sortie.
«Cette parabole de science-fiction qui oppose le cerveau (l'univers froid de la caste dirigeante) et la main (le prolétariat souterrain contraint à des cadences infernales, esclave de la technique), écrit Marie-Noëlle Tranchant, dénonce la société industrielle déshumanisée. Seule la transgression d'un fils de dirigeant, ému par une ouvrière, permettra de donner un cœur à ces membres disloqués, et de retrouver l'organique sous le mécanique. Si le message est somme toute assez élémentaire, l'esthétique extraordinaire du visionnaire Fritz Lang n'a cessé de nourrir la création artistique.»