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"Il y a aussi une Légion étrangère pour les femmes. Sans médailles pour nos bravoures, ni récompenses pour nos blessures..."
« Tout est admirable dans ce film hautain et brûlant qui a inspiré bien des cinéastes : Françoise Fabian poursuivant Raphael le Débauché dans les bouges de Michel Delville et Alida Valli guettant Farley Granger dans le Senso de Visconti sont, à l’évidence, les sœurs de cette Marlene qui, accompagnée de travellings somptueux, cherche son bien-aimé parmi des légionnaires survivants… Sternberg s’amuse à intervertir les sexes : c’est Marlene, en frac, qui embrasse une fille sur la bouche et drague Gary Cooper, lequel, fleur à l’oreille, est filmé comme objet de désir insaisissable. Le dialogue, rare, entrecoupé de silences qui ressemblent à des passes d’armes, ajoute encore à l’épure. Une splendeur ». Pierre Murat
« Une Marlene Dietrich sulfureuse et incandescente dans une histoire d 'amour fou élevée au rang de poème baroque » Hervé Clément, Cinématographes