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« L’œuvre cinématographique de Billy Wilder est presqu’exclusivement constitué de films noirs, de drames et de comédies, qui, tous, à de très rares exceptions, reposent sur le double-jeu et l’usurpation d’identité. Comédie située dans l’univers du noir, Certains l’aiment chaud développe ces motifs, propres aussi à la comédie américaine, et pousse jusqu’à l’absurde deux autres thèmes inhérents au genre : la lutte des sexes et le mythe de Cendrillon, dans un mélange détonnant de gags burlesques, de situations et de répliques de "Screwball Comedy". » (Alain Garel)