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En donnant à Rita Hayworth un rôle assorti à l’univers de faux-semblants et de dépravation qu’il peignait, Welles s’attira les foudres de la Columbia : la Major garda deux ans le film dans ses tiroirs avant de le distribuer, le condamnant à l’échec. La postérité a rendu justice à ce sommet de l’œuvre du cinéaste.
« Il est évident qu'on sentait venir le danger. Moi pas. » Ainsi commence l'un des polars les plus troublants de l'histoire du cinéma, aussi célébré aujourd'hui qu'il a été honni à sa sortie." — Pierre Murat pour Télérama
"Orson Welles adapte un obscur polar de Sherwood King et le transfigure en chef-d'œuvre, étonnant une fois de plus par sa liberté créatrice, l'originalité de ses cadrages et de ses angles de vue. Au-delà des règlements de comptes avec l'industrie du cinéma et avec sa femme, Rita Hayworth - le couple est alors en plein divorce -, le cinéaste excelle une fois encore à sonder l'âme humaine et la tentation de la chute, en défiant avec une classieuse désinvolture les règles classiques de la narration." Olivier Père
"La Dame de Shanghai est une forme de conclusion en apothéose d'un genre typiquement hollywoodien mais déjà expirant - le film noir à héroïne mortellement vénéneuse -, dont l'esthétique fébrile, violemment baroque, bouscule toutes les conventions." Cinéclub de Caen