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« Ami de Tarkovski et Paradjanov, épigone géorgien des Keaton, Tati et McLaren, Mikhail Kobakhidzé est l'auteur de courts métrages sans paroles mais pleins de grâce, merveilles de légèreté qui ressembleraient à du cinéma comique passé aux rayons X. Quoique non ouvertement politique, Kobakhidzé fut réduit au silence et à l'anonymat sous l'ère brejnévienne. Tel un paradoxe spatio -temporel, ce cinéaste oublié traverse aujourd'hui le ciel français. » Dominique Marchais, Les Inrocks
« Je voulais trouver un langage accessible à tous. Il ne fallait pas que l'on ait le sentiment que les paroles manquent mais inventer une musique propre aux images, m'approcher de formes universelles comme le ballet. » Mikhaïl Kobakhidzé