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Directeur de la publication : François Causse
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« Même perception aigüe du réel que dans le néoréalisme italien, même stylisation pour atteindre l’essence même de la réalité. Mais, en Inde, la réalité a toujours une dimension spirituelle. A travers les gestes les plus quotidiens (de longs doigts roulant une boulette de riz, un petit garçon qui joue pendant que sa mère le nourrit), à travers la vibration du vent dans les fils télégraphiques, le train qui passe en crachant sa fumée, la course de deux enfants dans la campagne, les gouttes de pluie qui commencent à tomber sur l’étang aux nénuphars, c’est l’âme de l’Inde qui transparaît. Dieu est partout. Dieu est en tout. Tout est divin. La mise en scène fluide, limpide, rapide de Satyajit Ray et la musique de Ravi Shankar, légère, coupée de longues plages de silence, composent une symphonie qui nous emporte dans une monde très éloigné du nôtre, mais où tout semble évident. » Claude-Marie Trémois, Télérama.