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De Charles Foster Kane aux personnages de Shakespeare (Macbeth, Othello), en passant par Michael O'Hara accusé d’un crime qu’il n’a pas commis (La Dame de Shanghai) et qui déclare qu’« Il est difficile d’être un homme libre, même quand on est innocent. Mon innocence éclate, mais, innocent ou coupable, cela ne veut rien dire », les personnages et les films de Welles sont empreints de cette notion de culpabilité. « S’il m’a été possible de faire ce film, c’est parce que j’ai fait des rêves récurrents de culpabilité toute ma vie : je suis en prison, je ne sais pas pourquoi. C’est quelque chose qui me touche de près. » (Olivier Bitoun, dvdclassik.com)
Adapter, en 1962, le roman emblématique de Franz Kafka offrit à Orson Welles une éclaircie dans sa carrière européenne. Alors que, depuis sa mise au ban de Hollywood, l’enfant terrible semblait voué aux tournages contrariés par les conditions chaotiques et les conflits de production et de distribution, voilà que les producteurs Salkind père et fils lui offraient la plus grande marge de manœuvre – montage compris – dont il eût joui depuis… Citizen Kane en 1941. (Benoît Smith, critikat.com)