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« Cette oeuvre inclassable gagne à être reconsidérée et érigée au sommet du cinéma australien » L'Ecran Fantastique
« Vous ne verrez rien de plus écolo que cette pépite horrifique australienne. » Vice
« Une œuvre lancinante et envoûtante, un remarquable pamphlet sur l’arrogance de l’homme, persuadé de sa toute puissance. Le film ressort en salles dans une copie restaurée, occasion unique d’en admirer toute la splendeur visuelle. » Culturopoing
« Un véritable chef-d’œuvre sensoriel, mais également l’un des films les plus étranges, cruels et formidablement beaux de l’histoire du cinéma. » Grégory Cavinato, UPCB
« Un très grand film.» Psychovision.net
« Au cours des années 70, le cinéma australien s’est affirmé au-delà de ses frontières, tout particulièrement au travers de thématiques fantastiques mettant en scène le décor à la fois envoûtant et hostile d’un écosystème sauvage. Dans l’arrière-pays dépeuplé où règne la loi du plus fort, l’homme y devient potentiellement une proie. Des films de Peter Weir (Les Voitures qui ont mangé Paris, Pique-nique à Hanging Rock, La Dernière vague) au Mad Max de George Miller, en passant par Walkabout du britannique Nicolas Roeg et Wake in Fright du canadien Ted Kotcheff, le bush australien est cet espace de dépaysement total, empreint de la mystique de la culture aborigène, duquel peuvent surgir des puissances sourdes, imprévisibles et inexplicables. Le paysage y est une entité à part entière, propice à la magie et au dérèglement des sens, espace ambivalent d’initiation et de destruction. Une autre tendance du cinéma d’horreur de cette décennie 70 développe le motif de l’invasion ou de l’agression animale, comme revanche de la nature contre l’humanité qui l’a outragée ou exploitée sans vergogne. Long Weekend puise dans ces divers registres et représente une des réussites majeures de la Ozploitation. » Gazette Utopia, juin 2019